Appareillage respiratoire : les nouveautés à domicile

Dans cet article nous allons voir les nouveautés en termes d’appareillage respiratoire à domicile.

Pour améliorer votre hygiène de sommeil en relavant des défis ludiques chaque semaine vous pouvez consulter cet article.

Introduction

Maxime Patout le président de séance remercie l’Antadir d’avoir organisé ce symposium au congrès du sommeil 2021. Il présente également le programme. Nous parlerons premièrement de la PPC. Deuxièmement de la ventilation asservie. Et dernièrement la ventilation non invasive.

appareillage respiratoire

Appareillage respiratoire : La PPC

Jean-Claude Meurice ouvre cette conférence en présentant quelques études pour faire le point sur l’efficacité de l’observance de la PPC dans la prédiction du risque cardiovasculaire. D’après des études plus récentes, l’utilisation de la PPC n’améliorerait pas le risque cardiovasculaire. Par contre pour les personnes avec une réponse en fréquence cardiaque élevée, l’utilisation de la PPC devraient améliorer le risque cardiaque. La PPC n’est pas pour autant inutile car elle améliore significativement la qualité de vie. Et comme nous l’avons vu dans ce précédent article il y a d’autres indicateurs pour le pronostic cardiaque.

En terme d’amélioration machine, la mise en place du télésuivi permet de créer des algorithmes favorisant la prise en charge. En effet en cas d’alerte sur l’IAH, une relecture sur les sept derniers jours permet de mettre en évidence des respirations de Cheyne-Stokes. Si elles étaient avérées, le patient était pris en charge cliniquement pour des examens complémentaires. Ou encore des algorithmes pour identifier les phases et quantité de sommeil profond, prédire l’observance de la PPC. Mais aussi mesurer la somnolence diurne à l’aide d’application.

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Appareillage respiratoire : La ventilation asservie

Dany Jaffuel nous parle de la prise en charge du SAS central. Il commencer par nous présenter le référentiel de traitement ventilatoire. C’est-à-dire quel traitement pour quel cas. Mais avant le traitement ventilatoire il faut un traitement étiologique. C’est-à-dire qu’il faut déjà chercher la cause la pathologie pour justement adapter le traitement qui peut être prioritairement pharmacologique.

Il souligne également l’importance qu’il n’y ait pas de formule magique des les réglages d’une ventilation auto-asservie. C’est vraiment une médecine personnalisée qui doit être adaptée au cas par cas.

Appareillage respiratoire : La ventilation non invasive

Maxime Patout nous explique d’abord comment mieux administrer les traitements. Il indique que le télésuivi a moins évolué car c’est plus compliqué d’analyser les données sur une population aussi hétérogène. Aussi l’oxygénothérapie pourrait être une alternative future à la ventilation non invasive.

Conclusion

Pour conclure la prise en charge s’est améliorée ces dernières années. Elle est plus personnalisée et adapté aux connaissances actuelles. Bien entendu de nombreuses recherches et améliorations restent encore à faire.

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